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PPDA n’est pas au bout de ses peines : trois nouveaux témoignages s’ajoutent à la liste

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Du nouveau concernant les accusations de viol et d’agression sexuelles visant l’éminent présentateur français Patrick Poivre d’Arvor. À la suite des huit témoignages du mois dernier, trois nouvelles femmes accablent le journaliste avec leurs déclarations ce mardi. Selon Laure Heinich, une nouvelle plainte par solidarité avec les autres a été déposée pour censurer les actes malveillants de PPDA.

PPDA, un prédateur sexuel pour Amandine Cornette de Saint Cyr

Dans les colonnes de Libération ce 14 décembre, Amandine Cornette de Saint Cyr décrit le journaliste PPDA comme un prédateur sexuel. La romancière affirme avoir eu des rapports sexuels non consentis avec l’homme en 2009 au Festival de Cannes. À cette époque, elle indique que le journaliste lui aurait proposé un coup de pouce pour son ascension professionnelle. C’est alors qu’il l’aurait invité à rejoindre sa chambre d’hôtel pour ensuite abuser d’elle contre toute attente.

Une plainte de Laure Eude pour agression sexuelle ignorée

À la suite d’Amandine Cornette de Saint Cyr, Laure Eude a aussi livré un témoignage glaçant sur Patrick Poivre d’Arvor. La cinquantenaire raconte qu’en 1985, alors qu’elle avait 23 ans, le journaliste l’a violée dans une chambre d’hôtel. Cet événement déplorable se déroulait selon ses confidences en marge du Festival de Cannes. Laure explique qu’elle a approché l’homme pour qu’elle l’aide à trouver un stage à la télévision. Après ce forfait de PPDA, elle s’est plainte sans succès auprès de la responsable du bureau de presse du Festival de Cannes.

Une troisième femme témoigne sous anonymat

Le troisième témoignage relayé par le journal Libération concerne une femme qui a préféré s’exprimer sous anonymat. Dans son récit, elle stipule que le journaliste l’aurait pris au dépourvu et l’aurait embrassé de force avant qu’elle ne le repousse. Bien avant, la jeune dame indique qu’elle lui a demandé si elle était séduite par sa personne. Les faits remontent en 2013 dans un Club Med en Savoie pendant qu’elle avait encore 23 ans. Contactée par les journalistes de Libération, Me Jacqueline Laffont, l’avocate de PPDA n’a pour le moment pas voulu s’exprimer sur la question.